Parce que dans la vie, pour avancer vraiment, il faut savoir s’arrêter.

Oui, ces deux mots — stratégie et résilience — peuvent sembler opposés.
Mais c’est justement en prenant le temps de se poser, de réfléchir à l’endroit où l’on veut aller, que l’on peut bâtir sereinement une trajectoire solide.

Rêver grand est essentiel.
Mais à un moment, il faut s’asseoir à la table de dessin :
poser ses limites, nommer ses contraintes, se positionner sur sa carte… et tenir compte de ce qui nous entoure.

Nous ne sommes pas seul·e·s.
Autour de nous : des allié·e·s, des opposant·e·s, parfois des compétiteur·rice·s.
Il faut apprendre à se définir en lien avec eux — en amont, avant même de lancer son projet.

Avoir une vision claire et définie, c’est bâtir des fondations solides.
Et quand les imprévus surgissent (car ils surgissent toujours), ce socle nous permet de rester debout, d’avancer.

Avoir une stratégie claire ne veut pas dire tout contrôler.
Cela veut dire savoir naviguer.
Et pour naviguer à travers les tempêtes, les imprévus et les détours du quotidien…

Chez Stratégie Résiliente, j’aide les entrepreneur·e·s et les organisations à bâtir cette clarté stratégique, tout en cultivant leur capacité d’adaptation.

Et c’est pourquoi une bonne dose de résilience est indispensable.
Même avec une stratégie solide, on ne peut pas tout prévoir.
Il y aura toujours des angles morts, des imprévus.
La capacité à réagir, à plier sans rompre — comme un bambou souple — devient un atout essentiel.
C’est une qualité qu’on cultive dès le départ, pas au moment où la tempête frappe.

 Stratégie Résiliente est née de mes expériences personnelles et professionnelles

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